Quand et pourquoi consulter un ostéopathe ?
L’ostéopathie est une discipline bien connue, car sa réputation n’est plus à faire pour soulager les problèmes de dos. Pourtant, en dehors de cette indication, nous sonnes encore trop peu nombreux à savoir quand consulter un ostéopathe peut nous être utile. Un peu dommage quand on connait mieux nombre de maux que cette médecine holistique peut soulager ! Penchons-nous sur la question.
Quand consulter un ostéopathe ?
Avant de répondre à la question : « quand consulter un ostéopathe ? » à l’exemple d’ostéopathe sainte colombe vienne, il est utile de mieux comprendre en quoi consiste cette discipline. Cette approche thérapeutique traite les affections du système musculosquelettique, partant du principe que la structure de notre corps, préside à ses fonctions. L’ostéopathie vise donc à remettre du mouvement dans les tissus, articulations et organes du corps, de manière à ce que nos différents organes fonctionnent bien. Un ostéopathe travaille sur la structure musculosquelettique en procédant par manipulations, palpations et massages. On ne sait pas toujours quand consulter un ostéopathe, car la pratique peut s’avérer utile aussi bien pour soulager et guérir que pour prévenir. Pour les adultes, les spécialistes la conseillent en complément d’une rééducation suite à une blessure ou une opération. Elle est utile aussi aux sportifs lors d’une préparation. Quand il s’agit de guérir des maux ou des lésions, les bons moments pour recourir à l’ostéopathe seront :
· suite à des douleurs causées lors d’un choc, traumatismes, accident de la route…
· en cas de pathologie chronique ;
· en cas de douleurs liées à de mauvaises postures, notamment au travail ;
- en cas de grossesse gémellaire ;
- suite à un accouchement ;
- en cas de suivi d’un traitement postural…
On ne sait pas toujours quand consulter un ostéopathe aussi avec les enfants. La brutalité d’un accouchement justifie souvent que l’on consulte avec les nourrissons, pour éviter la formation de troubles fonctionnels suite à une déformation des tissus crâniens. De plus en plus de parents consultent aussi lorsque leur bébé présente un trouble quel qu’il soit : pleurs, mauvaise position de la tête, atonie… Quand ils grandissent, les soins de l’ostéopathe peuvent soulager les plus jeunes lors de multiples petits ennuis, tels que : séquelles de fractures, douleurs articulaires et dorsales, énurésie, maux de ventre… Pour le sujet âgé, l’ostéopathie est vivement recommandé à titre préventif, pour travailler sur la mobilité générale du corps, de manière à mieux préserver toutes ses fonctions.
Pourquoi consulter un ostéopathe ?
Lorsque l’on répond à la question de quand consulter un ostéopathe, on commence aussi à répondre à la question du pourquoi. On l’aura compris, l’action de l’ostéopathie ne se limite pas à replacer les os ou débloquer les nerfs coincés (plus d’infos sur le nerf sciatique sur https://www.sante-avenir.fr). Cette discipline, qui aborde l’être humain dans son ensemble, est capable de soulager de nombreuses manifestations liées à des troubles fonctionnels.
On distingue parmi elles les affections pour les lesquelles l’ostéopathie est la plus connue, avec les troubles de l’appareil locomoteurs tels que torticolis, cervicalgies, douleurs intercostales, lumbagos… De manière générale, les situations pour lesquelles elle contribue au mieux-être ne sont pas toujours perçues clairement par le grand public. Quand consulter un ostéopathe dans ces cas ? Lorsque l’on est sujet à des troubles digestifs par exemple, comme des reflux gastro-œsophagiens, des régurgitations ou des nausées. L’ostéopathie est bénéfique aussi pour le système génito-urinaire et peut aider à solutionner les problèmes de cystites à répétition. Elle est aussi efficace sur la sphère ORL et le système respiratoire, en aidant à prévenir les bronchites, sinusites et l’asthme. Son action peut s’étendre aux problèmes de sommeil, de migraine et de douleurs telles que l’arthrose.
L’ostéopathie est populaire aujourd’hui, car elle s’attache à un mieux-être de l’individu dans sa globalité. Elle prend en compte aussi les effets du stress et s’attache à réparer ses dégâts au sein d’un organisme de façon naturelle, en limitant la prise de médicaments.